Sais-tu que les pierres grandissent jusqu'à en devenir des murs, les souvenirs jusqu'à en devenir des êtres respirants? Que la poussière épaissit à en couvrir la brume et la sueur en une croûte qui te remplacera?
Au-delà n'est ce qu'il semble sur ce chemin mouvant. Sont-ce des hommes dans le lointain ou les ruines d'une époque révolue, en lutte contre l'oubli, que l'oeil caresse? Est-ce le vent que tu entends ou les milliers de soupirs de restés au bord de la route? Et moi, sais-tu qui je suis, qui mets en garde les voyageurs sur cette route beaucoup trop courbée?
Je reste ici jusqu'à ce qu qu'un passant se prosterne. Les hommes me piétinent, les belles femmes me dédaignent. Laissez venir à moi les pauvres, les estropiés, les envieux et les insatisfaits. Qu'ils m'adorent et je leur donnerai le miel, les vierges les délices de la chair, toutes les réponses qui sont une, et l'amour.
Ainsi me parla le bossu qui voulait être de nouveau dieu.
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I don't know about others, but I personally feel melancholic rather than depressed. The atmosphere is so thick that you can cut it with a knife, and after listening to this album (twice in a row), I can safely say that it will not end with two listens Kurt Von Jazzenhoff
supported by 21 fans who also own “Chant I - Le Bossu”
The album description mentions an “emotional apex.” That’s really the difference between Stare and the band’s previous albums. Ulcerate was always supremely technically proficient. I just didn’t care all that much. Their growth has come from making music you will feel. Metallurgical Fire